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While the technology behind the autonomous 5G network slicing demonstrated in this test is cutting edge
Deutsche Telekom Partners Up With Huawei For 5G Slicing
Huawei mette il grafene nelle batterie
Amazon Web Services intègre désormais Active Directory
Amazon Web Services lorgne les entreprises : la société a annoncé jeudi 3 décembre l’extension du support d’Active Directory sur ses services. Le leader du cloud public proposait déjà un service simplifié permettant d’avoir recours au système d’annuaire phare de Microsoft, Simple AD, proposé depuis octobre 2014. Mais Amazon Web Services poursuit son développement et annonce une nouvelle offre à destination des entreprises souhaitant disposer des fonctionnalités les plus poussées d’Active Directory sur son cloud.
La firme propose maintenant un service géré permettant de déployer Active Directory sur une instance Windows Server 2012 R2 : une offre principalement destinée aux grands compte, Amazon continue en effet de conseiller son service Simple AD pour les entreprises de moins de 5000 employés.
Le service fournit deux contrôleurs de domaines, qui pourront être déployés dans deux datacenters sélectionnés par le client. Le service est proposé à l’essai pour les 750 heures, puis est ensuite facturée 0,04$ par heure une fois cette période d’essai achevée.
L’inauguration de cette technologie est évidemment un moyen pour Amazon de séduire les entreprises. C’était d’ailleurs l’un des arguments de l’offre de cloud public de Microsoft, Azure, qui proposait déjà une intégration native d’Active Directory pour ses clients. Le déploiement de cette technologie permettra à des entreprises entièrement équipées de solutions Microsoft d’envisager plus facilement une migration de ses outils vers la plateforme d’Amazon.
Amazon met également en avant ses capacités en matière de cloud hybrid : ses offres Active Directory permettent ainsi l’utilisation d’un connecteur afin de simplifier et d’unifier la gestion des permissions entre les applications déployées sur site et celles déployées sur son cloud public. Cette offre permet notamment à un utilisateur de reutiliser ses même identifiants active directory pour se connecter sur des applications déployées dans le Cloud d'Amazon, afin de faciliter la mise en place d'approche hybrides mêlant cloud privé et cloud public.
Galaxy S7 : Samsung misera sur le Force Touch et la recharge rapide
On efface tout et on recommence ? Oui et non... En limogeant JK Shin, le père de la gamme Galaxy, Samsung démontre qu'il entend faire table rase du passé dans le domaine des smartphones. Ce limogeage devrait donc s'accompagner d'un changement stratégique qui pourrait être incarné par Dongjin Koh, responsable de la R&D de la branche mobile. L'innovation, notamment autour des écrans flexibles, pourrait ainsi remettre les smartphones de Samsung sur les rails.
Pour autant, il semble que le prochain flagship du géant, le Galaxy S7, n'apporte pas de grandes ruptures. Selon des sources forcément invérifiables, le design du terminal resterait proche de son prédécesseur. Et sous le capot, outre la montée en gamme des composants, il ne faudra pas non plus compter sur d'importantes innovations.
Selon le Wall Street Journal, la principale serait l'intégration d'une technologie proche du Force Touch d'Apple. Rappelons qu'elle permet d'accéder à différents contenus ou menus en fonction de la pression exercée sur l'écran. La techno est disponible sur les derniers iPhone 6s.
Toujours selon le quotidien américain, ce S7 bénéficierait de la recharge rapide (encore une fois rien de bien nouveau) et de la reconnaissance par la rétine, mais sur ce point, le WSJ indique que rien n'est confirmé. Sans trop se mouiller, le Wall Street Journal prévoit une présentation du nouveau flagship du Sud-Coréen en mars prochain, certainement pendant le Mobile World Congress.
Rappelons que Samsung subit les échecs relatifs de ses derniers smartphones haut de gamme, notamment le Galaxy S5, qui ont eu pour conséquence des pertes historiques pour la division électronique de Samsung. Depuis de nombreux trimestres, le groupe est pris en étau entre un Apple dominant dans le haut de gamme et des fabricants chinois très agressifs dans l'entrée de marché.
Le groupe a pourtant un peu inversé la tendance au dernier trimestre. Samsung a réalisé un bénéfice net de 4,8 milliards de dollars, en hausse de 29,4% sur un an. C’est cependant moins que les prévisions du coréen, et en baisse de 5% par rapport au trimestre précédent. Samsung attribue cette augmentation (par rapport à 2014) de ses bénéfices à une progression « significative » de ses livraisons de smartphones. Le fabricant ne communique pas le chiffre néanmoins.
Pourquoi les Apple MacBooks sont-ils les plus fiables des ordinateurs ?
Apple a vendu pour 25 milliards de dollars de Mac sur son exercice fiscal 2015, soit un prix de vente moyen de 1 237 $, prix un peu plus élevé que le prix moyen d'un PC portable Windows. Est-ce pour cette raison que les MacBooks revendiquent moitié moins de problèmes graves que les appareils équipés de Windows ?
Ce prix moyen comprend un pourcentage infime de Mac Pro, et un plus grand pourcentage de iMacs, mais environ 75% des Macs sont des MacBooks. Quand on regarde en détail les prix des MacBook, qui vont de 899 $ pour le bas de gamme (MacBook Air 11 pouces) à 3199 $ pour un MacBook Pro 15" bien gonflé, 1200 $ est probablement plus proche de la vérité pour le prix moyen d'un MacBook.
Il y a beaucoup d'ordinateurs portables Windows à 500 dollars, mais à ce niveau de prix on ne trouve pas de produit Apple. Et dans la gamme des ultrabooks, les prix sont similaires entre PC et Mac. Alors, le coût des systèmes déterminent ils leur fiabilité ?
L'enquête de Consumer Reports ne porte pas sur les prix. Mais James McQueen, de Consumer Reports nous répond par email sur ce point : "Nous avons trouvé que la fiabilité n'est pas nécessairement liée à combien d'argent vous dépensez pour un ordinateur portable. La gamme Envy de HP est proche du plancher, avec un taux d'échec de 20%, alors que la gamme Pavillon, moins couteuse, a un taux d'échec de 16%".
Consumer Reports définit les pannes graves et catastrophiques d'une manière que, peut-être, pour les cracks de l'informatique de longue date comme nous, ne faisons pas. Mary Elizabeth Bernal, qui travaille à la Consumer Reports, note que « notre enquête de fiabilité sur les ordinateurs portables est conçue afin de capter l'expérience utilisateur des consommateurs « de tous les jours », tels qu'ils le perçoivent. (...) Cette enquête permet à notre organisation de fournir au grand public une compréhension holistique de ce qu'ils peuvent attendre des ordinateurs portables actuellement disponibles sur le marché américain.
Quand je suis parti de la Silicon Valley pour les montagnes du nord de l'Arizona il y a 10 ans, j'ai été surpris de constater ce qu'est cette vision d'un utilisateur de « tous les jours » du fonctionnement d'un ordinateur. Elle est binaire : ça marche, ou ça ne marche pas. L'utilisateur lambda ne dit pas : « Oh c'est un problème matériel, et c'est pas mal pour une installation Microsoft ». Non. Ils disent : « Mon portable Windows craint parce qu'il est cassé ». Donc Consumer Reports a fait la bonne chose.
Pour moi, et je soupçonne cela de la plupart des gens qui trimballent des ordinateurs portables, ce sont des outils. Et quand ça ne marche pas, c'est un problème. Voilà peut-être pourquoi lors des conférences Techno je fréquente, les MacBooks sont sur-représentés, généralement 40%-60% pour cent, parmi les power users. Ils ont des outils et ces outils sont bons.
ZTE Blade A1 : 86 euros pour la 4G, le lecteur d'empreintes digitales et les selfies 8 Mégapixels
Le constructeur chinois ZTE dévoile son smartphone Blade A1. Placé sous la barre des 100 euros, il offre la 4G et les selfies 8 Mégapixels, mais aussi le lecteur d'empreintes digitales.
D’après les industriels, les lecteurs d’empreintes digitales qui équipent les smartphones ne coûtent presque rien. Quelques dollars, tout au plus. Ils devaient ainsi arriver sur les petits modèles, après avoir été un attribut réservé au haut de gamme. La chose se confirme avec le ZTE Blade A1 tout juste annoncé en Chine à 599 yuans, l’équivalent de 86 euros, qui possède en effet cette fonctionnalité. Le constructeur promet d’ailleurs un déverrouillage en 0,3 seconde.
Le reste de la fiche technique est assez honnête. On évoque en effet un chipset MediaTek MT6735 donnant accès à un processeur quad-core 1,3 GHz soutenu par 2 Go de RAM et offrant un support 4G à 150 Mbit/s. On parle aussi d’une gestion dual-SIM, d’un écran 5 pouces 720p, de photos classiques en 13 Mégapixels, de selfies en 8 Mégapixels, d’un stockage 16 Go extensible, d’une batterie 2 800 mAh et d’une ROM Android 5.1 Lollipop à la sauce ZTE (surcouche MiFavor 3.2).
On attend maintenant les infos concernant une distribution éventuelle en Europe.
Vous pouvez désormais savonner votre smartphone !
Les smartphones faisant, avec les claviers de nos ordinateurs et les poignés dans les transports en commun, partie des gros nids à saletés, on aurait bien pouvoir les toiletter de temps en temps. C’est justement que ce propose Kyocera. Le fabricant japonais vient en effet d’officialiser le Digno Rafre (photo à gauche), un smartphone que l’on peut laver avec du savon et rincer sous un jet d’eau ou avec un petit plongeon (certification IP58 autorisant les immersions prolongées). Il est toutefois précisé que la température de l’eau ne doit pas dépasser les 43 degrés.
La fiche technique annonce outre cela une configuration de milieu de gamme. Elle mentionne en effet un écran 5 pouces 720p avec vitre Dragontrail X, un processeur quad-core 1,2 GHz couplé à 2 Go de RAM (solution Snapdragon 410), un support 4G à 150 Mbit/s (toujours grâce à la solution de Qualcomm), des capteurs photo 2/13 Mégapixels, un stockage 16 Go extensible par MicroSD, une batterie 3 000 mAh pour 20 heures d’appels et une ROM Android 5.1 Lollipop. À noter enfin la conception MIL-SSTD-810G, qui assure une bonne résistance aux chocs. Disponible en trois finitions blanche, bleue et rose, le smartphone Digno Rafre de Kyocera sera proposé chez l’opérateur japonais KDDI pour l’équivalent de 440 euros.
Samsung Galaxy Note 5 : lancement dès le mois de janvier en Europe ?
Le groupe Samsung a dévoilé durant l'été une phablet Galaxy S6 Edge+, version en grand format des Galaxy S6 et S6 Edge lancés au printemps, et un modèle Galaxy Note 5, dont la diffusion a été limitée à certains marchés.
Pas proposée initialement en Europe, la phablet avec stylet pourrait toutefois se frayer un chemin vers le Vieux Continent.
Cette hypothèse a déjà été évoquée mais elle est remise en avant par une rumeur qui affirme que la Galaxy Note 5 sera disponible à partir de fin janvier 2016 au Royaume-Uni, puis sur plusieurs marchés européens par la suite.
Aucune date de disponibilité ni aucun prix ne sont donnés et le site SamMobile rappelle qu'aucune évolution du firmware du smartphone Galaxy Note 5 qui pourrait confirmer un lancement européen n'a été repéré récemment, ce qui laisse planer quelques doutes sur la véracité de cette information.