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Fossil confirme le rachat de Misfit et ses bracelets connectés

Récemment, la marque Fossil annonçait la sortie de deux montres connectées, et il semblerait que le groupe souhaite s'investir plus largement dans le sujet puis qu'il devrait prochainement racheter Misfit.

Le groupe Fossil a confirmé la signature d'un accord de rachat de la société Misfit Inc spécialisée dans les bracelets intelligents . La marque connue pour son bracelet Shine et Shine 2 devrait ainsi permettre à Fossil d'aller plus loin dans le déploiement de ses montres connectées et autres accessoires intelligents orientés vers le suivi santé.

Le montant du rachat devrait atteindre 241 millions d'euros et concernera à la fois la partie matérielle et logicielle de Misfit. Pour rappel, le Shine de Misfit n'est pas à proprement parler un bracelet connecté, mais plutôt un traceur d'activité prenant la forme d'un galet rond qu'il est possible d'intégrer à un bracelet ou autre système de port comme une pince ou un pendentif. Sans écran, il communique sans fil avec un smartphone et les informations sont affichées par quelques LED disposées sur son cadran comme des marqueurs de montre analogique, sa surface répondant toutefois au toucher.

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Apple prépare un dock pour sa Watch

D'après des informations glanées auprès d'une source interne, Apple serait actuellement en train de préparer un dock permettant d'accueillir sa montre connectée.

Apple est une marque qui a traditionnellement proposé des docks pour l'ensemble de ses produits, ce qui a participé à la démarquer de ses concurrents. De l'iPod à l'iPhone, il faudra prochainement compter avec l'Apple Watch.

La firme serait ainsi attelée à la préparation d'un dock, une station permettant d'accueillir l'Apple Watch afin de la recharger, mais aussi de faciliter le transfert vers et depuis la montre vers un PC ou un ordinateur Mac.

Sur des premiers clichés récupérés, on peut voir un boitier prenant la forme d'un disque sur lequel est écrit "Station de chargement magnétique" associé à la Watch. Le design et la conception du produit présenté laissent penser qu'Apple se trouve derrière, et le dock proposerait deux façons de recharger sa montre.

Il serait ainsi possible de la positionner à plat sur le dock, elle serait alors maintenue par des aimants. Elle pourrait également être rechargée en étant posée sur le côté, puisque le centre du dock pivoterait pour venir se positionner sur le revers du cadran de cette dernière et servir de point de contact.

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HTC officialise son smartphone One M9s avec Helio X10

Le smartphone HTC One M9s s’appuie sur le chipset MediaTek Helio X10, profitant ainsi d’un processeur octacore 64-bit 2,2 GHz couplé à une mémoire vive 2 Go et d’un support 4G à 150 Mbit/s.

La fiche technique mentionne également un écran 5 pouces dans une définition Full HD, deux haut-parleurs frontaux, des liaisons Wi-Fi 802.11ac/Bluetooth 4.1/NFC/GPS, un capteur photo UltraPixel 4 Mégapixels à l’avant, un capteur photo 13 Mégapixels avec double flash LED à l’arrière, une mémoire flash 16 Go extensible par carte MicroSD et une batterie 2 840 mAh. Le tout dans des dimensions 14,5 x 7 x 1 centimètre pour un poids de 158 grammes et orchestré par Android Lollipop.

Pour le moment, seul le marché taïwanais a été évoqué. HTC annonce une disponibilité le 20 novembre et l’équivalent de 370 euros.

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Wiko Rainbow Jam : smartphone 3G ou 4G sous Android 5.1 à moins de 130 euros

Baptisée Rainbow Jam 3G, la première s’appuiera sur une plate-forme MediaTek MT6582 avec processeur quadruple cœur 1,3 GHz et support 3G à 21 Mbit/s. Son alimentation sera assurée par une batterie 2 000 mAh pour 23 heures de 2G, 20 heures de 3G ou 336 heures de veille. Elle sera vendue à 99,99 euros et fera l’objet d’une exclusivité chez le groupe de distribution Leclerc.

Nommée Rainbow Jam 4G, la seconde embarquera le SoC Qualcomm Snapdragon 210 avec processeur quad-core 1,1 GHz et support 4G à 150 Mbit/s. Une batterie 2 500 mAh lui procurera 24,5 heures de 2G, 21,6 heures de 3G ou 238 heures de veille. Annoncée à 129,99 euros, elle sera diffusée plus largement.

Au-delà de la plate-forme, les deux variantes partageront une mémoire vive 1 Go, un écran IPS 5 pouces 720p, une gestion double SIM, des capteurs photo 5/8 Mégapixels (simple flash LED pour le dorsal), une mémoire flash 8 Go extensible par MicroSD et une ROM Android 5.1 Lollipop. Elles auront enfin en commun cinq coloris blanc, bleu, corail, noir et vert.

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Android : Shuanet, ShiftyBug et Shedun, ces malwares si tenaces que vous ne pourrez pas les éliminer

L'éditeur d'antivirus Lookout a détecté l'existence chez Android de trois familles de diffuseurs de publicité qui se doublent de chevaux de Troie quasiment impossibles à éliminer, même après un factory reset.

Voilà qui va de nouveau reposer la question de la sécurisation d'Android. L'éditeur d'antivirus Lookout évoque dans un billet de blog l'existence de trois familles d'adwares, qui présentent des similarités et, outre leur tendance à diffuser agressivement des publicités sur les appareils mobiles, peuvent s'installer comme des services système, devenant alors presque impossible à éliminer.

Plus de 20 000 échantillons ont été repérés par Lookout dans des applications vérolées ayant l'apparence d'applications légitimes comme Candy Crush, Facebook, Twitter ou WhatsApp et diffusées sur des portails tiers.

La plupart de ces applications fonctionnent normalement mais elles permettent à ces trois grands groupes, baptisés Shuanet, ShifttyBug (aussi connu sous le nom Kemoge) et Shedun d'afficher des publicités mais aussi de rooter discrètement les terminaux et de gagner des privilèges système leur permettant d'accéder aux données personnelles et les rendant à peu près impossibles à éliminer, à tel point que l'utilisateur, si jamais il s'en rend compte, n'a guère d'autre choix...que de racheter un smartphone, un factory reset ne suffisant pas à les effacer une fois l'appareil infecté.

Lookout a étudié ces trois familles d'adwares qui se doublent secrètement de chevaux de Troie et a constaté que, si elles n'ont pas la même origine, elles présentent néanmoins de nombreux points communs, avec de fortes similarités dans leur code et l'utilisation des méthodes de root (par ailleurs connues et utilisées), ce qui pourrait suggérer une coopération entre leurs créateurs ou au moins la reprise de certains éléments des uns aux autres.

Et si pour les utilisateurs, le seul moyen de s'en débarrasser pourrait être de racheter un smartphone, dans les cas des entreprises, les conséquences peuvent être bien plus graves, d'autant plus que ces familles de malwares devraient continuer à évoluer pour se faire toujours plus discrètes.

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Rohff : le rappeur français lance son premier smartphone

En partenariat avec la marque française Danew, qui souhaite profiter de sa notoriété pour gagner en visibilité sur le marché très concurrentiel des smartphones, le rappeur français Rohff va proposer un modèle à son effigie.

Baptisé Surnaturel R500, en référence au huitième album du rappeur qui sortira début 2016, ce smartphone (visible à gauche) arborera le logo R de Rohff au dos qui s’illuminera en rouge au démarrage, à la réception d’un appel ou à la réception d’un message. Il proposera aussi des contenus parmi lesquels des fonds d’écran, des sonneries, une application selfie exclusive et un chanson inédite. Côté technique ensuite, on évoque un processeur 1,5 GHz, un support 4G, un écran 5 pouces dans une définition Full HD, un lecteur d’empreintes digitales et une capacité de stockage de 32 Go.

Trois modèles blanc, champagne et noir seront proposés en décembre à 299 euros, auprès de vendeurs comme la Fnac ou RueDuCommerce, et peut-être d'opérateurs tels que Bouygues Télécom ou SFR (négociations en cours). Le partenariat qui lie Danew et Rohff a été signé pour cinq ans. D’autres appareils à l’effigie du rappeur sont ainsi amenés à voir le jour au sein d’une gamme Danew by Rohff, qui accouchera par exemple d’une enceinte nomade d’ici la fin de l’année et d’un casque audio en début d’année prochaine.

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Jailbreak iOS 9 : Pangu en version 1.2

La team Pangu publie une version 1.2 de son outil de jailbreak Pangu 9. Cela reste pour iOS 9.0 à 9.0.2.

Les hackers de la team Pangu proposent une mise à jour de leur outil de jailbreak Pangu 9. Mais c'est une mise à jour qui intègre la dernière version de Cydia et corrige un bug au niveau de la gestion du stockage. Il n'est pas question d'un jailbreak d'iOS 9.1.

Pangu 9 v1.2.0 prend donc en charge le jailbreak d'iOS 9.0 à 9.0.2. C'est toujours uniquement un outil pour Windows qui est proposé. La version pour OS X est encore indiquée pour bientôt.

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iFixit : la Surface Pro 4 est peu ou pas réparab

La Surface Pro 4 de Microsoft a beau récolter de bonnes critiques pour ses performances et la qualité de son écran, elle n'est pas vraiment du gout d'iFixit pour ce qui est du démontage et de sa capacité à être réparée.

La dernière tablette de Microsoft en date, la Surface Pro 4 se présente comme la tablette capable de remplacer un PC portable ou un PC fixe. Sur le terrain des caractéristiques et de la puissance embarquée, les faits se confirment puisque la tablette intègre des composants comparables, voire identiques aux PC actuels, mais il faut faire l'impasse sur la modularité et les réparations...

iFixit a mis la main sur la Surface Pro 4 et comme d'habitude, cela se termine par un démontage en règle. Bon point pour Microsoft, la Surface Pro 4 fait mieux que l'ancien modèle... Manque de chance, on partait de très bas et la tablette se voit offrir un médiocre 2/10 pour la séparabilité.

Au menu : une dalle fusionnée avec son écran en verre, la batterie n'est pas soudée, mais collée ce qui la rend difficilement remplaçable sans la percer, l'écran et les composants profitent de connectiques propriétaires. L'écran en lui même aura été particulièrement difficile à démonter, même pour les experts d'iFixit, la procédure est obligatoire pour toute réparation. Seul le SSD est remplaçable, le reste étant noyé sous la colle et les adhésifs, ce qui rend le démontage complexe sans porter atteinte aux différents modules.

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iPhone : 30 % des acheteurs venus d'Android

Apple a publié les résultats du quatrième trimestre de son exercice clos le 26 septembre. Comme à l'accoutumée, c'est l'iPhone qui en est la vedette. Ce smartphone a été écoulé à 48 millions d'unités, soit près de 9 millions de plus qu'au cours du dernier trimestre de l'exercice précédent.

L'iPhone a représenté 63 % du chiffre d'affaires trimestriel d'Apple - qui s'est établi à 51,5 milliards de dollars (+22 % sur un an) - et demeure de loin le premier facteur qui contribue aux profits du groupe. La frime à la pomme a annoncé un bénéfice net trimestriel de 11,1 milliards de dollars.

Pour autant, les analystes s'attendaient à des ventes légèrement supérieures pour l'iPhone. De quoi les rassurer, les grosses ventes de l'iPhone paraissent encore avoir une belle marge de manœuvre. La perspective d'une saturation s'éloigne en effet lorsque le patron d'Apple indique que pour le dernier trimestre, 30 % des acheteurs d'un iPhone étaient des clients Android.

C'est la première fois qu'une telle migration est aussi importante. " Nous sommes très fiers de cela ", a commenté Tim Cook. Avec cette bascule des utilisateurs de smartphones Android et le nombre de clients fidèles qui vont mettre à niveau leur iPhone, Apple a déjà les yeux qui brillent pour les ventes d'iPhone du premier trimestre de son exercice 2016 qui tiendra davantage compte de l'iPhone 6s et iPhone 6s Plus.

Reste cependant toujours les petites inquiétudes concernant une croissance du groupe trop dépendante de l'iPhone. Par ailleurs, la croissance des ventes de l'iPhone en Chine - actuellement le deuxième marché pour Apple derrière les USA - a marqué le pas par rapport au trimestre précédent… même si elles ont doublé en un an.

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Arcep : itinérance Free / Orange et partage de réseau entre Bouygues Telecom et SFR sous surveillance

Jusqu'à présent, les opérateurs mobiles pouvaient esquiver les demandes d'information de l'Arcep sur les contrats de partage de leurs réseaux en se retranchant derrière le caractère secret des contrats commerciaux entre entreprises privées.

Ce verrou a été levé en juillet dernier par l'extension des pouvoirs de l'Arcep, régulateur français des télécommunication, qui lui donne maintenant un droit de regard et de modification sur ces mêmes contrats dans la mesure où ils ont d'importantes répercussions sur l'ensemble du secteur.

L'Autorité annonce donc qu'elle a lancé une analyse approfondie des contrats d'itinérance entre Orange et Free Mobile d'une part, et d'autre part des contrats de mutualisation des réseaux entre Bouygues Telecom et SFR, qui prévoit un accès au réseau 4G de Bouygues pour SFR.

Recueillant un certain nombre de données auprès des opérateurs concernés, elle indique que ces travaux vont permettre la rédaction de lignes directrices qui définiront "le cadre général d'analyse de l'Arcep en matière de partage de réseaux mobiles en France" mais aussi "les modalités d'application de ce cadre d'analyse aux deux contrats précités".

Ces fameuses lignes directrices feront alors l'objet d'une consultation publique avant la fin de l'année avant d'être transmises à l'Autorité de la concurrence, et en vue d'une adoption à partir du premier trimestre 2016. Dès lors, "il appartiendra aux acteurs d'en tirer toutes les conséquences dans les plus brefs délais", indique le communiqué.

Ce nouveau cadre posera sans doute les bases de l'extinction de l'accord d'itinérance entre Free et Orange, voulu en théorie dès l'an prochain tandis qu'une partie des critiques échangées entre les opérateurs ces dernières années pourrait trouver un début de correction...et faire de nouveaux mécontents ?

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