Le smartphone Ramos MOS1 Max a été officialisé. Il porte bien son nom avec son format XXL et son énorme batterie.

Parmi les quelques smartphones Android dont l’officialisation était attendue ces derniers jours, il y avait les modèles Droid Turbo 2 et Droid Maxx 2 de Motorola, le modèle Honor 5X de Huawei et le modèle MO1S Max de Ramos dont nous allons parler ici. Faisant l’objet de nombreuses fuites ces derniers temps, ce smartphone chinois vient en effet d’être présenté à l’occasion d’un évènement à domicile, à Pékin pour être précis.

Le smartphone Ramos MO1S Max est tout d’abord plus grand plus prévu. On parlait de 5,5 ou 6,0 pouces. Le joujou offrira finalement une diagonale de 6,44 pouces, comme le Sony Xperia Z Ultra de 2013, ce qui explique en partie le poids de 230 grammes. La dalle utilisée est un modèle IPS à bords courbés 2,5D et affiche une définition 1 920 x 1 080 pixels. La fiche technique mentionne par ailleurs un processeur octocore couplé à 3 Go de RAM (sans précision toutefois concernant la plate-forme utilisée, mais on pense à du MediaTek), deux logements SIM, des modules photo 8 et 13 Mégapixels et une mémoire flash 32 Go. Et comme attendu, c’est une batterie 6 000 mAh qui alimentera l’ensemble. Un modèle 6 010 mAh pour être exact.

La disponibilité est annoncée au 13 novembre prochain (en Chine, vous vous en doutez) avec un prix de 2 799 yuans, l’équivalent de 400 euros.

Apple a beau communiquer sur le sujet et mettre en place un conseil de surveillance, la firme est à nouveau épinglée pour les conditions de travail de ses assembleurs en Chine.

China Labor Watch attire de nouveau l'attention sur les conditions de travail de Pegatron, un sous-traitant en charge de la fabrication des iPhone d'Apple.

Selon l'organisation non gouvernementale : " Les employés de Pegatron travaillent par équipe, douze heures par jour, en roulement, six jours par semaine. Ils sont forcés de faire des heures supplémentaires et d'effectuer des tâches non rémunérées, avec des pauses très courtes pour les repas".

Un rapport de 43 pages met ainsi en avant diverses violations du Code du travail qui concernent 100 000 employés dédiés à l'assemblage de l'iPhone dans l'usine de Pegatron à Shanghai.

Il est à nouveau question de faire travailler des mineurs au service d'Apple, une situation que la marque met pourtant un point d'honneur à éviter lorsqu'il est question de s'adresser aux médias. China Labor Watch évoque également le salaire des employés : 1,85 dollar de l'heure et l'accès à des dortoirs surpeuplés (les employés s'entassent jusqu'à 14 par pièce) et insalubres associés à des manques au niveau des normes de sécurité. Des conditions qui amènent parfois au pire : un enfant nommé Shi Zhaokun travaillant 13 heures par jour serait décédé des suites d'une pneumonie en octobre 2013.

Il semblerait donc que les engagements et les diverses commissions de surveillance engagées par Apple ne soient pas aussi efficaces qu'annoncés. Au mieux, les améliorations seraient temporaires et il ne s'agirait que de faire bonne figure face aux médias et aux ONG le temps de calmer le jeu après des révélations embarrassantes.

Selon Apple qui a mené 633 audits chez ses sous-traitants, le temps de travail de 60 heures maximum est imposé dans 92% des cas.

China Labor Watch a communiqué son rapport à Apple 2 jours seulement avant de le publier, afin notamment d'éviter à Apple de mener une contre-expertise en distillant des recommandations à Pegatron au préalable.

En 2013, le rapport de l'ONG mettait en avant 21 violations de loi et d'éthique, " Onze sont restées inchangées, cinq se sont détériorés et quatre ont connu une amélioration partielle, mais insuffisante".

Selon le Financial Times, la Commission européenne avait connaissance de la triche sur les mesures d'émission de gaz polluants des moteurs diesel deux ans avant leur mise en évidence à l'occasion du scandale Volkswagen.

Le coût associé au scandale de la triche sur les mesures des tests d'émission de gaz polluants des moteurs diesel sera sans doute de plusieurs milliards d'euros pour le constructeur Volkswagen et, en attendant que des tests indépendants révèlent si ces manipulations sont répandues dans l'industrie, le Financial Times jette un pavé dans la mare en affirmant que la Commission européenne avait connaissance de ces pratiques deux ans avant leur révélation.

Le quotidien affirme par ailleurs qu'aucune action n'a été entreprise pour mettre fin à ces pratiques chez les constructeurs automobiles et qu'il était prévu de maintenir le cadre actuel des tests, avec ses défauts, jusqu'en 2017.

Des échanges entre les commissaires européens chargés de l'écologie et de l'industrie montrent que dès 2013, le problème d'importants décalages entre les mesures de tests et les émissions réelles avait été signalé et était déjà considéré comme la raison première pour laquelle la qualité de l'air ne pouvait atteindre les seuils définis par la réglementation européenne.

Le commissaire européen chargé de l'écologie avait alors appelé sans succès à la prise de mesures allant de la suspension de l'approbation pour des gammes entières de véhicules à la prise de mesures correctrices.

Les premiers soupçons de triche sur les résultats des tests d'émission datent même de 2011 et il était déjà question de l'hypothèse selon laquelle les constructeurs pourraient tricher dans les mesures et laisser les véhicules polluer au-delà des valeurs autorisées en usage normal.

Sans constituer une excuse, le Financial Times suggère que la gestion de la crise financière et économique mondiale a pu être considérée comme prioritaire et amener la Commission à retarder la prise en main de ce dossier.

Le constructeur chinois Oppo vient d’officialiser un nouveau smartphone Neo 7 qui se positionne sur le petit milieu de gamme.

Si Oppo propose bien quelques smartphones en Europe, dont les modèles R7 et le R7 Plus, rien n’indique pour l’instant une disponibilité du modèle Neo 7 sur le Vieux Continent. Aucun prix n’a de toute façon filtré pour le moment, même si celui-ci promet d’être très attractif au regard des prestations.

Côté caractéristiques, on évoque en effet la plate-forme Snapdragon 410 avec son processeur quad-core 64-bit 1,2 GHz et son support 4G à 150 Mbit/s, une mémoire vive 1 Go, une mémoire flash 16 Go extensible, des capteurs photo 5 / 8 Mégapixels, une batterie 2 420 mAh et une ROM Color OS 2.1 basée sur Android Lollipop qui s’affiche sur un écran 5 pouces en 540 x 960 pixels.

Plus tôt dans le mois, Oppo a également officialisé un R7s et confirmé sa disponibilité en Europe. Il doit arriver en décembre avec un SoC Snapdragon 615 et un écran 5,5 pouces Full HD.

Après avoir fait sensation, le Chipgate se dégonfle peu à peu avec de nouvelles séries de mesures. Entre la puce Apple A9 de TSMC ou de Samsung, l'association Consumer Reports trouve moins de 2% d'écart entre les deux.

Avec deux puces Apple A9 conçues par deux fournisseurs, Samsung et TSMC, exploitant deux technologies de gravure différentes, respectivement 14 nm et 16 nm, existe-t-il à l'usage une différence significative qui introduirait une distinction entre un "bon" processeur Apple A9 et un "mauvais" ?

Certains résultats préliminaires obtenus ont cru démontrer une différence importante en terme d'autonomie en défaveur de la puce Samsung, peut-être liée à des courants de fuite plus important. Plusieurs sites se sont emparés du sujet, évoquant un possible Chipgate, après l'AntennaGate et le BendGate, et créant un certain mécontement exprimé par des utilisateurs tombés sur un iPhone 6S ou 6S Plus embarquant une puce Samsung.

Apple a réagi en affirmant que la variation entre les deux processeurs n'était que de 2 à 3% dans le cadre d'un usage standard, mettant en cause des méthodologies de test trop éloignées de la réalité. L'association américaine Consumer Reports met son grain de sel dans le Chipgate en annonçant avoir mis en place une méthodologie spécifique afin d'avoir les mêmes conditions sur les deux appareils.

Le test sur l'utilisation du réseau cellulaire a conduit à 5 heures d'autonomie, avec moins de 2% d'écart entre les deux versions de l'iPhone 6S. Un autre test, simulant une utilisation polyvalente avec chargement de pages Web et lecture musicale, a abouti à 11 heures d'autonomie pour les deux modèles sous puce Apple A9 TSMC ou Samsung, avec moins de 1% de variation.

Pour Consumer Reports, le résultat est assez net : le Chipgate...n'existe pas et les puces Apple A9 de TSMC ou de Samsung se comportent sensiblement de la même façon et les possesseurs d'iPhone 6S / 6S Plus avec puce Samsung n'ont pas spécialement de raisons d'envier les détenteurs d'un iPhone 6S / 6S Plus avec SoC TSMC.

La rumeur d'un lancement du Galaxy S7 en janvier trouve une nouvelle confirmation via un média coréen qui fournit même une date précise.

Si le Galaxy S6 a suivi un cycle de lancement classique avec une annonce durant le salon MWC 2015 de Barcelone, le Galaxy Note 5 et le Galaxy S6 Edge+ ont fait l'objet d'un lancement inhabituel durant le mois d'août, plusieurs semaines avant le salon IFA de Berlin.

Une fenêtre de lancement similaire pourrait être retentée avec le futur Galaxy S7, dont il s'est murmuré que la conception avait suivi une nouvelle direction en vue de raccourcir son temps de développement.

Une annonce sur le mois de janvier 2016, quelque temps avant le salon MWC 2016, pourrait donc reproduire le schéma du lancement du Galaxy Note 5.

De nouvelles informations amenées par la publication coréenne ET News va dans ce sens et propose même une date précise : le Galaxy S7 serait annoncé le 19 janvier 2016 avec une version premium et une autre dite "sub-premium", ce qui pourrait aller dans le sens de deux modèles distincts, l'un en 5,2 pouces et l'autre en 5,8 pouces.

Autre rumeur recyclée, le Galaxy S7 exploiterait un processeur avec une structure ePoP qui combine tous les éléments du SoC pour gagner en efficacité et réduire la consommation d'énergie. Il pourrait s'agir du processeur Exynos 8890 avec coeurs custom M1 Mongoose.

L'application de navigation GPS à dimension sociale Waze vient de présenter sa version 4.0 avec au menu une révision complète de son interface.

Le lifting ne concerne pour l'instant que la version iOS de Waze, un comble quand on sait que l'application d'origine israélienne appartient à Google. La version 4.0 de l'application est désormais disponible sur l'AppStore, avec au menu une révision complète de son interface.

Waze adopte ainsi le material design propre à Google : une interface simplifiée, épurée et plus facile à prendre en mains. Les alertes sont de fait plus simples à identifier puisqu'elles optent pour un code couleur en fonction de leur nature : embouteillage, accident, danger divers...

Il est également plus facile et rapide de lancer la navigation vers un point donné ainsi que de partager sa progression et son heure d'arrivée à un contact. Waze gère également désormais les informations du calendrier de l'utilisateur : il peut prévenir ce dernier par une alarme qu'il est temps de partir si ce dernier à un rendez-vous à un endroit quelconque, et ce, en fonction du temps de trajet et des embouteillages éventuels.

La version Android de Waze 4.0 devrait être déployée prochainement.

Apple serait en train de préparer un troisième smartphone pour l'an prochain. Selon les dernières rumeurs circulant sur la Toile, celui-ci pourrait d'ailleurs conserver le format de l'iPhone 5S, tout en lui apportant quelques améliorations.

Si un iPhone 7 est attendu l'an prochain en compagnie de sa version Plus, un troisième smartphone Apple moins attendu pourrait lui aussi faire son arrivée sur le marché. En effet, d'après Macotakara, La Pomme serait en train de travailler sur un nouvel iPhone 4 pouces, qui pourrait porter le nom d'iPhone 6C.

Selon le site japonais, la firme de Cupertino souhaiterait que ce smartphone dispose des mêmes dimensions que celles de l'iPhone 5S, tout en apportant quelques améliorations à la fiche technique de l'ancien flagship de la marque. Cet iPhone 6C serait pour cela équipé d'une puce A8 (soit la même que l'iPhone 6), des connexions Wi-Fi 802.11ac et Bluetooth 4.1, ainsi que d'une caméra FaceTime avec une ouverture f/2,2.

Le fait qu'une puce A8 soit évoquée ici démontre que ce futur iPhone devrait être de très bonne facture, tout en étant moins cher à produire que les futurs flagships.

Autre rumeur circulant à son sujet : la date de lancement de cet iPhone 6C pourrait avoir lieu à la mi-2016 d'après plusieurs analystes, au mois de juin pour être précis. Apple pourrait d'ailleurs organiser une keynote dédiée à son lancement ainsi qu'à celui de l'Apple Watch 2.

Rappelons cependant que toutes les informations qui sont avancées ci-dessus ne sont que des rumeurs. Ming-Chi Kuo n'a d'ailleurs pas la même vision puisque d'après l'analyste, généralement bien renseigné au sujet de la firme américaine, le nouveau smartphone d'Apple devrait être animé par un processeur A9, déjà présent sur l'iPhone 6S et l'iPhone 6S Plus. Ming-Chi Kuo se distingue également des rumeurs précédentes sur la date, en affirmant que le futur iPhone 4 pouces devrait sortir au mois de septembre, en même temps que les iPhone 7 et 7 Plus.

Quoiqu'il en soit la possibilité de voir un troisième smartphone Apple semble de plus en plus probable. Il semblerait en effet assez logique qu'Apple conserve dans sa gamme un appareil de 4 pouces, pour les personnes à la recherche d'un smartphone compact, et pour qui les 4,7 pouces et 5,5 pouces des flagships paraissent trop grands.

L'opérateur SFR lance une nouvelle opération sur ses forfaits RED, et propose jusqu'au 26 novembre prochain des tarifs très compétitifs ciblant tous les consommateurs d'Internet mobile, qu'ils en aient une utilisation occasionnelle, régulière ou intensive.

SFR mène une politique de prix très agressive avec ses offres RED. Après ses opérations « Journées Guerrières », l'opérateur renoue d'ailleurs avec les promotions en lançant une opération intitulée « Un Noël vraiment Giga ». Comme vous l'aurez compris, elle fait la part belle à la consommation d'Internet avec, au programme, trois nouveaux forfaits dotés de tarifs très compétitifs.

Les forfaits proposés ici par SFR correspondent à tous les consommateurs d'Internet mobile, qu'ils aient une utilisation occasionnelle, régulière ou intensive. Voici les offres proposées dans le cadre de cette opération « Un Noël vraiment Giga » :

Un forfait à 4,99 euros par mois avec les appels illimités vers tous les opérateurs mobiles et fixes en France métropolitaine, d'Amérique du Nord et des DOM (hors Mayotte) et vers les fixes de 52 destinations (dans la limite de 3 heures par appel et de 200 destinataires par mois), les SMS et MMS illimités vers tous les opérateurs en France métropolitaine (dans la limite de 200 destinataires par mois) et 1 Go d'Internet en 4G (avec réduction du débit au-delà).
Un forfait à 9,99 euros par mois avec les appels illimités vers tous les opérateurs mobiles et fixes en France métropolitaine, d'Amérique du Nord et des DOM (hors Mayotte) et vers les fixes de 52 destinations (dans la limite de 3 heures par appel et de 200 destinataires par mois), les SMS et MMS illimités vers tous les opérateurs en France métropolitaine (dans la limite de 200 destinataires par mois) et 5 Go d'Internet en 4G (avec réduction du débit au-delà).
Un forfait à 19,99 euros par mois avec les appels illimités vers tous les opérateurs mobiles et fixes en France métropolitaine, d'Amérique du Nord et des DOM (hors Mayotte) et vers les fixes de 52 destinations (dans la limite de 3 heures par appel et de 200 destinataires par mois), les SMS et MMS illimités vers tous les opérateurs en France métropolitaine (dans la limite de 200 destinataires par mois) et 20 Go d'Internet en 4G (avec réduction du débit au-delà).

L'offre à 4,99 euros par mois est l'offre la moins chère du marché à proposer 1 Go de data, tout comme celle à 9,99 euros par mois avec ses 5 Go. En revanche, l'offre à 19,99 euros semble moins complète que celle de Free Mobile pour le même prix, qui inclut notamment 50 Go de data.

Sachez par ailleurs que ,si ces offres vous intéressent, elles sont valables jusqu'au 27 novembre 2015 à 8h59, sur le site Internet de RED By SFR. Notez qu'elles sont disponibles pour tout nouveau client et pour les clients La Carte souhaitant migrer vers une offre Red.

HTC vient encore d'annoncer un nouveau One. Enfin, presque. Il a été présenté sous le nom de One M9s pour le marché taïwanais mais il ressemble en tout point au One M9E récemment lancé en Chine.

Jamais la gamme One n'aura accueilli autant de modèles que cette année. Si seuls les One M9, M8s et A9 sont arrivés en Europe, HTC enchaîne les annonces en Asie depuis le mois de mars : One E9+, M9+, ME, E9s, M9E... et désormais M9s. Eh oui. Un nouveau One vient encore d'être annoncé en Asie, mais, contrairement aux autres, il n'est ni pour la Chine ni pour l'Inde. C'est à Taïwan, le marché domestique de HTC, qu'il sera bientôt commercialisé, même si nous nous apercevons bien vite qu'il ne s'agit en fait pas réellement d'une exclusivité.

Un autre nom pour le One M9E

Exclusivité asiatique, oui. Taïwanaise, pas vraiment puisque ce One M9s ressemble tout de même beaucoup au One M9E récemment lancé en Chine. Les informations à notre connaissance nous amènent même à penser qu'il s'agit en réalité du même modèle. Tout correspond : le design métallique avec haut-parleurs BoomSound, hérité du One M9, et la fiche technique, plutôt inspirée du One A9 malgré quelques différences importantes.

Chipset Helio X10, batterie 2840 mAh et Android Lollipop

Il y en a trois. La première est que le chipset n'est pas le Snapdragon 615 de Qualcomm mais le plus puissant Helio X10 de MediaTek. La seconde est la capacité de la batterie : 2840 mAh, contre 2100 pour celle du milieu de gamme aux airs d'iPhone. Enfin, Android n'est livré ici qu'en version 5.0 Lollipop. Ce n'est donc pas la dernière. Il ne pouvait tout de même pas tout avoir de mieux...

Le reste est bien identique : écran Full HD de 5 pouces, 2 Go de RAM, 16 Go de mémoire interne, connexions 4G, Wi-Fi ac et Bluetooth 4.1, appareil photo principal de 13 mégapixels avec OIS et webcam UltraPixel.